Patrick ADLER pour TATOUVU vous parle de FLAGRANT DALÍ
EXTRAITS
C’est vachard à souhait, d’une mauvaise foi insane, il y a du Chazot, du Brialy, du Gérarld Nanty là-dedans, c’est facétieux, délicieusement cruel et parfois même malaisant mais si bien senti. Et drôle, tellement drôle !
La diction est parfaite, d’autant que Denis Souppe prend des temps de sociétaire dans l’articulation. Vous fermez les yeux et vous entendez Dali. C’est jubilatoire !
Et on rit plus d’une heure durant des corrections verbales infligées à ses interviewers d’un soir que seul son talentueux complice Arnaud Cominassi accepte de recevoir sans broncher. À croire qu’il est atteint du syndrome de Stockholm.